L’addiction la plus facile à vaincre ?

C’est une question qu’on me pose souvent !
Et je comprends bien l’intention : on aimerait croire qu’il existe des dépendances “plus simples” à traiter que d’autres. Mais la réalité est un peu différente.

Ce n’est pas la substance qui fait la difficulté

Il n’y a pas une addiction “plus facile” à vaincre qu’une autre. Tout dépend de la personne, de son histoire, de ce qu’elle traverse, de son niveau de souffrance… mais surtout de son environnement.

Beaucoup pensent que certaines drogues dites “dures” sont les plus difficiles à quitter. En réalité, ce sont souvent les substances légales, accessibles, banalisées — comme l’alcool — qui posent le plus de défis. Pourquoi ? Parce qu’elles sont partout. Tout le temps.

L’alcool : une drogue présente dans (presque) chaque moment social

On ne s’en rend plus compte.
L’alcool est tellement intégré à notre culture qu’on en oublie ce que c’est : une substance psychoactive, puissante, avec un potentiel addictif élevé.

On ne vous proposera pas de cocaïne à un dîner d’entreprise.
Mais un verre de vin, de champagne ou de whisky ? Presque à coup sûr.
Et si vous refusez ? Il faudra souvent vous justifier. Parfois même insister.

L’alcool est la seule drogue qu’on doit justifier de ne pas consommer.

Dire non à ce qui est valorisé

Refuser un verre, c’est parfois prendre le risque d’être vu comme « coincé », « triste », « malade », ou « en contrôle ». Ce regard social est lourd à porter pour une personne en sevrage.
Le problème, ce n’est pas la force de volonté — c’est l’environnement dans lequel on doit exercer cette volonté.

Et c’est là que réside la difficulté.

Tant qu’une substance est disponible, normalisée, voire encouragée, la tentation reste constante.
Le tabac connaît une stigmatisation croissante, ce qui facilite parfois l’arrêt. Mais l’alcool, lui, reste valorisé : il est associé à la convivialité, à la réussite, au plaisir.

L’hypnose pour aider à sortir de la norme sociale

L’hypnose, dans ce contexte, peut aider de plusieurs façons :

• Réduire le besoin, l’impulsion, l’envie automatique.

• Renforcer le discernement : ne plus céder par réflexe ou pour “faire comme tout le monde”.

• Gagner en confiance pour poser ses limites, affirmer ses choix, et parfois même réorganiser son entourage.

Car parfois, ce n’est pas tant l’alcool qu’il faut quitter… mais certains groupes, certains lieux, certaines habitudes. Et ça, c’est un vrai défi.

Vous n’êtes pas seul·e

Ce que je constate au cabinet, c’est que les personnes qui s’en sortent durablement sont celles qui comprennent que l’addiction ne se joue pas seulement sur un plan chimique.
Elle touche aussi au lien, à l’estime, à la solitude, aux blessures profondes.

Mon travail, c’est de vous aider à voir tout cela avec clarté.
L’hypnose n’est pas une baguette magique, mais un outil d’exploration et de changement.
Je vous guide — c’est vous qui avancez.

Note importante pour le bien être de tous et de toutes

Il est entendu que l’accompagnement proposé par l’hypnose Ericksonienne et le coaching de santé s’inscrivent dans une démarche de bien-être global en complément d’un accompagnement médical et avec l’aval de votre médecin. Pour toute question relative à votre état de santé, seul votre médecin peut vous conseiller.

Je suis pour ma part hautement qualifié dans le domaine des thérapies brèves pour vous accompagner. ➡️  consultez mes diplômes.

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